kindle-francis-hubert.1211053174.jpgAprès avoir passé deux mois sans Kindle (j’avais prêté le mien) je viens de le récupérer… et de ressentir un vrai coup au cœur. En l’ouvrant dans le métro j’ai eu l’immense plaisir de retrouver les deux livres que j’étais en train de lire (le roman Tree of Smoke et l’essai The Wealth of Networks) exactement à la page où je les avais laissés.

Et je me suis demandé comment j’avais fait pour passer tant de temps sans ce gadget encore imparfait mais si commode (voir ces billets ).

Romans, livres de fond, documents au format PDF (que je déteste lire autrement), je peux avoir dans mon sac toute une palette de textes et choisir celui qui m’inspire le plus en fonction des circonstances.

J’adore et je ne dois pas être le seul.

Henry Blodget cite un analyste pour qui le Kindle pourrait être la source de 3% des revenus d’Amazon en 2010 (c’est demain…). Le raisonnement semble un peu optimiste mais pas excessivement tiré par les cheveux: titres moins chers que sur papier, première version insatisfaisante mais prometteuse, baisse probable du prix, modèle comparable à celui du iPod/iTunes…

Le Kindle est de nouveau disponible sur Amazon (à condition d’avoir une carte de crédit avec domicile aux États-Unis).

On peut facilement concevoir un appareil plus séduisant, mais je conçois maintenant beaucoup mieux la vie avec un « bouquineur électronique » que sans.

J’enquête, je suis et j’analyse les technologies de l’information et de la communication depuis la préhistoire (1994). Piqué par la curiosité et l’envie de comprendre ce que je sentais important,...