Une des dimensions les plus puissantes de cet univers où nous pouvons nous connecter les uns aux autres est qu’elle permet de découvrir que nous avons des expériences semblables, que nous passons par des problèmes comparables. Nous pouvons même échanger des conseils.

Mes angoisses d’utilisateur confronté au changement de machine que j’évoquais hier n’ont manifestement rien d’unique. Elles semblent même proliférer. Les progrès des Mac, la plus grande facilité d’utilisation de Linux et les ratages de Vista y contribuent grandement.

Un nombre important d’entre vous ont même apporté leur grain de sel, leurs conseils, leurs expériences. La question posée – Que faire quand on ne veut pas passer sur Vista, qu’on a un PC et qu’on veut changer de machine? – a suscité surtout des réponses d’utilisateurs aguerris. Elles n’en sont que plus intéressantes. C’est un merveilleux exemple de ce que veut dire le contenu généré par les utilisateurs en termes de qualité.

Je vous conseille de les lire (il y en a beaucoup) pour trois raisons:

D’abord parce que personne n’est vraiment tombé dans ces guerres de religion, ni dans ces querelles de clocher qui ne mènent nulle part. C’est un extraordinaire progrès. Les passionnés ne manquent pas – heureusement – mais ils avancent leurs arguments. Vous apprendrez beaucoup en les lisant.

La seconde raison, issue clairement de la première est que le conseil dominant consiste à dire: faites l’analyse de vos besoins et de votre situation et prenez votre décision en conséquence. C’est toujours un bon conseil. Il est ici avancé de façon détaillée par plusieurs commentateurs.

La troisième est que vous y trouverez – à côté de deux défenseurs de Vista (j’en aurais souhaité plus) – de très bons arguments pour les systèmes en base Linux (dont les deux qualités essentielles semblent-être la liberté et faible coût) et pour les Mac (qui brillent par leur esthétique et leur simplicité).

Il me reste donc à bien analyser tout cela et à prendre ma décision.

Réponse demain… avec les explications requises et la certitude d’en décevoir un grand nombre.

Inéluctable puisque vous n’êtes pas tous d’accord. C’était le risque.

Les paris sont ouverts… lalala… mais rien à gagner d’autre que le plaisir… de participer.

J’enquête, je suis et j’analyse les technologies de l’information et de la communication depuis la préhistoire (1994). Piqué par la curiosité et l’envie de comprendre ce que je sentais important,...