Showerflickrmewzii Ça y est. Lesvacances sont terminées. Je ne dis pas ça avec soulagement (huit jours avecbeaucoup de pluie – même chaude – c’est pas vraiment assez). Mais quand même.

Transnets et nosconversations me manquaient.

Bref commentairesur le rapport à l’internet. J’avais, pendant ces huit jours, accès au réseauau moyen d’une connexion téléphonique. J’ai pu survoler mes courriels pourm’assurer que rien d’essentiel ne m’échappait.

Ce qui me frappeau retour c’est combien je me sens paralysé quand la ligne n’est pas ouverte enpermanence. Lire les nouvelles du moment, visiter un site, vérifier uneinformation sont des activités de chaque instant. Le fait de devoir compter lesminutes, de devoir attendre, pèse.

C’est comme l’eaude la douche. Nous avons tous appris à nous laver avec quelques bassines d’eaufroide. Mais l’eau courante, chaude et froide, fait partie de la viequotidienne la plus élémentaire. Il en va maintenant de même des lignes à hautdébit.

N’est-il pasfascinant de constater combien elles sont devenues indispensables en un tempssi court?

[Photo prise par Mewzii, trouvée sur Flickr]

J’enquête, je suis et j’analyse les technologies de l’information et de la communication depuis la préhistoire (1994). Piqué par la curiosité et l’envie de comprendre ce que je sentais important,...