John Markoffraconte dans le New York Times comment deux compagnies de la côte ouest ont, séparément,mis au point des technologies permettant à des voisins de mettre en communleurs lignes à haut débit pour obtenir des connexions plus rapides à l’internet.

Les deuxentreprises – Mushroom Networks et WiBoost – ont des approches technologiques légèrementdifférentes. Mais du point de vue des usagers l’effet est très semblable.

Ils doivent seprocurer un appareil ou une antenne capable de s’alimenter à différents pointsd’accès dotés d’équipement WiFi. En mettant leurs ressources en commun il leur estpossible d’obtenir des vitesses de connexion dix fois supérieures à celle dont ilssont censés bénéficier.

Une telle offre s’appuiesur le fait qu’en moyenne  la plupart d’entrenous n’utilisent leurs connexions à haut débit qu’au vingtième de leur capacitéréelle (selon certaines estimations).

Ces technologiessont beaucoup moins ambitieuses que FON (voir (voir ce billet, celui-ci et celui-là)) qui cherche à établirun vrai réseau mondial, mais cela peut parfaitement changer la vie de voisinsqui s’entendent bien. Commencer par la collaboration au niveau du quartiersemble une excellente approche.

Le seul problèmeest que les fournisseurs d’accès risquent de ne pas trouver ça de leur goût.

Et vous ?

J’enquête, je suis et j’analyse les technologies de l’information et de la communication depuis la préhistoire (1994). Piqué par la curiosité et l’envie de comprendre ce que je sentais important,...