Conversationtables_1C’est bien ce que je disais, dès qu’on parle de Mac les partisans de cette superbe machine se mobilisent. Je suis content qu’ils participent mais j’espère qu’il n’y a pas qu’eux qui lisent Transnets et qui ont des choses à dire. J’utilise un PC Wintel (Windows XP, plus Centrino) et/mais je suis tolérant. J’espère ne pas être le seul.

Revenons sur le billet d’hier dans lequel je parlais des conseils à donner à un acheteur d’ordinateur (puissance, vitesse, etc.). J’y invitais les lecteurs à donner leur avis, or la majorité des commentaires se prononce fortement en faveur du Mac.

Quand un/e ami/e me demande mon avis, j’évite de commencer par parler de la marque de la machine à acheter. Je préfère discuter des problèmes qu’elle doit résoudre, des fonctions qu’on attend d’elle, de l’usage qu’on prévoit d’en faire.

La logique de l’environnement

J’applique d’abord la logique de l’environnement. La machine compte relativement peu aujourd’hui. Ce qui compte ce sont les réseaux dans lesquels elle s’insère: les gens avec lesquels on travaille, le milieu dans lequel on est, et les programmes dont on a besoin.

Certains en concluront qu’une telle logique renforce la domination de Windows. Pas nécessairement. Il y a parfois de bonnes raisons (et de bonnes motivations personnelles) pour changer. Ce billet sur Firefox, ou ma passion pour l’iPod montrent que je suis ouvert. Et, comme je l’ai dit à propos d’Outlook, les programmes de valeur ne manquent pas chez Microsoft.

Ce sont les fonctions qui comptent

Pour en revenir au billet d’hier, je voulais seulement inviter les usagers à se demander quelle taille de disque dur, qu’elle vitesse de microprocesseur, quelle quantité de RAM leur sont nécessaires. A eux de choisir leur marque.

Les ordinateurs sont en train de devenir des outils d’usage courant. Ce sont les fonctions, les services rendus qui comptent et c’est sur cette base qu’on devrait juger machines, logiciels… et marques.

Participez tous à la conversation, svp

La vraie discussion qui m’intéresse consiste moins à opposer un système à un autre, une marque à une autre, une chapelle à une autre – ce qu’on peut et doit faire… de temps en temps – qu’à essayer de mieux comprendre comment tout cela interagit et le parti que nous pouvons en tirer, individuellement et collectivement.

Que ceux que cette approche intéresse se joignent à la conversation, qu’ils utilisent Linux, Mac, Unix, ou Windows.

Dépêchez-vous de répondre, c’est la première chose que je regarderai en me levant demain matin (la fin d’après-midi pour vous).

J’enquête, je suis et j’analyse les technologies de l’information et de la communication depuis la préhistoire (1994). Piqué par la curiosité et l’envie de comprendre ce que je sentais important,...