La police australienne a obtenu la semaine dernière le droit d’utiliser des logiciels espions pour réunir des informations dans le cadre d’une enquête. Sur autorisation du juge les flics pourront installer subrepticement des programmes permettant de suivre tout ce que font les personnes incriminées avec leur ordinateur. Ils auront recours par exemple à des « keystroke loggers ». (Qui a une traduction à suggérer)?

Ars Tecnica (AT) signale qu’ils auront, par exemple, accès à des données confidentielles tel que le mot de passe pour accéder à un compte bancaire online.

Even more disturbing, a keylogger could capture text from e-mails never sent, Word documents never saved, and other data that is never committed to a file.

Le blogueur de AT termine son billet en disant qu’après avoir pris des distances avec ce genre de pratiques les autorités américaines pourraient fort bien les adopter un jour ou l’autre.

Réaction encore plus utile, il nous rappelle comment se défendre efficacement contre les logiciels espions.

C’est tellement mieux quand on peut joindre la pratique à la réflexion.

J’enquête, je suis et j’analyse les technologies de l’information et de la communication depuis la préhistoire (1994). Piqué par la curiosité et l’envie de comprendre ce que je sentais important,...